Bernard Laporte "Je peux me regarder dans une glace"
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Bernard Laporte "Je peux me regarder dans une glace"
Ecarté du Stade français après la prise de pouvoir de Thomas Savare, Bernard Laporte a déclaré qu’il avait tout fait pour sauver le club parisien et qu’il voulait continuer malgré tout dans le monde du rugby. L’ex-secrétaire d’Etat chargé aux sports reste tout de même sur deux échecs.
"J'ai un gros projet qui me tient à cœur, en lien avec le rugby". Malgré deux échecs consécutifs de retour à Bayonne et au Stade français, Bernard Laporte ne cache pas sa volonté de rester dans le monde du rugby. S’exprimant dans Sud-Ouest, l’ex-secrétaire d’Etat chargé aux sports est revenu sur sa mise à l’écart de l’organigramme du club parisien après la prise de pouvoir de Thomas Savare, qui a apporté plus de 9,5 millions d’euros de fonds pour sauver le Stade français. Une mission pour laquelle l’ancien sélectionneur du XV de France a échoué, en raison notamment des problèmes avec la fondation canadienne de la Facem. Dans l’opération, Bernard Laporte a perdu 180.000 euros et une partie de son crédit dans le milieu du rugby français.
Laporte: "J’ai dépensé beaucoup d’énergie"
Pourtant, Bernard Laporte ne veut pas endosser la responsabilité du sauvetage manqué, en compagnie de Max Guazzini, du Stade français. "Je peux me regarder dans la glace. J'ai œuvré pour chercher des partenaires, des sponsors. J'ai dépensé beaucoup d'énergie pour essayer de sauver le club. Si le Stade français est toujours là, c'est en partie grâce à moi. Je veux mourir avec club de Paris en haut de l'affiche, je pourrai dire à mes petits-enfants: regardez, c'est moi qui l'ai fait, avec Max Guazzini".
"C’est moi qui suis allé rencontrer Thomas Savare"
Bernard Laporte est toujours au cœur d’une enquête judiciaire après avoir porté plainte contre la Facem pour escroquerie. Il veut toutefois clarifier les choses quant à l’arrivée de Thomas Savare, fils de Jean-Pierre Savare, fondateur et président d’Oberthur Technologies, qui vient de prendre les commandes du Stade français. "On a dit n'importe quoi sur cette histoire, mais c'est moi qui suis allé rencontrer Thomas Savare et son père lundi pour sauver le club. Ce sont des gens pour lesquels j'ai beaucoup de respect. Je comprends très bien qu'ils aient envie de donner au club une nouvelle image. Sans Laporte, sans Guazzini. Parce que Max, il n'y est plus". Bernard Laporte tente ainsi de sauver la face…
"J'ai un gros projet qui me tient à cœur, en lien avec le rugby". Malgré deux échecs consécutifs de retour à Bayonne et au Stade français, Bernard Laporte ne cache pas sa volonté de rester dans le monde du rugby. S’exprimant dans Sud-Ouest, l’ex-secrétaire d’Etat chargé aux sports est revenu sur sa mise à l’écart de l’organigramme du club parisien après la prise de pouvoir de Thomas Savare, qui a apporté plus de 9,5 millions d’euros de fonds pour sauver le Stade français. Une mission pour laquelle l’ancien sélectionneur du XV de France a échoué, en raison notamment des problèmes avec la fondation canadienne de la Facem. Dans l’opération, Bernard Laporte a perdu 180.000 euros et une partie de son crédit dans le milieu du rugby français.
Laporte: "J’ai dépensé beaucoup d’énergie"
Pourtant, Bernard Laporte ne veut pas endosser la responsabilité du sauvetage manqué, en compagnie de Max Guazzini, du Stade français. "Je peux me regarder dans la glace. J'ai œuvré pour chercher des partenaires, des sponsors. J'ai dépensé beaucoup d'énergie pour essayer de sauver le club. Si le Stade français est toujours là, c'est en partie grâce à moi. Je veux mourir avec club de Paris en haut de l'affiche, je pourrai dire à mes petits-enfants: regardez, c'est moi qui l'ai fait, avec Max Guazzini".
"C’est moi qui suis allé rencontrer Thomas Savare"
Bernard Laporte est toujours au cœur d’une enquête judiciaire après avoir porté plainte contre la Facem pour escroquerie. Il veut toutefois clarifier les choses quant à l’arrivée de Thomas Savare, fils de Jean-Pierre Savare, fondateur et président d’Oberthur Technologies, qui vient de prendre les commandes du Stade français. "On a dit n'importe quoi sur cette histoire, mais c'est moi qui suis allé rencontrer Thomas Savare et son père lundi pour sauver le club. Ce sont des gens pour lesquels j'ai beaucoup de respect. Je comprends très bien qu'ils aient envie de donner au club une nouvelle image. Sans Laporte, sans Guazzini. Parce que Max, il n'y est plus". Bernard Laporte tente ainsi de sauver la face…
Patrick- Titulaire
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