Guazzini, simple supporter
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Guazzini, simple supporter
Max Guazzini ne fait plus partie de l’organigramme du Stade français. Après la prise de pouvoir de Thomas Savare, l’ancien homme fort du club parisien a annoncé qu’il refusait le titre de président d’honneur du Stade français. Max Guazzini veut seulement en être "son supporter numéro un".
"Je ne craquerais pas aujourd’hui. Je me le suis promis". Invité de RTL ce jeudi, l’ancien président du Stade français Max Guazzini est paru très ému. Et laconique. Il n’a pas cherché à noyer le poisson dans l’eau et a de suite annoncé qu’il ne faisait plus partie de l’organigramme du Stade français. Le club qu’il avait ramené de l’oubli en 1992. Max Guazzini a même refusé le titre honorifique de président d’honneur. De surcroît, il a démissionné du Comité directeur de la Ligue nationale de rugby à laquelle il avait été élu en 2008. Une page se tourne bel et bien dans le paysage du rugby français. "C’est une journée très particulière puisque depuis quelques heures, je ne suis plus président du Stade français. Je ne suis plus rien dans la hiérarchie. Je me pose juste comme le supporter numéro un de Paris. J’irai au match en tant que simple spectateur".
"Je ne savais pas comment marcher le rugby à l’époque"
Max Guazzini a reconnu qu’il avait énormément pleuré depuis lundi et la prise de pouvoir de Thomas Savare, directeur général et fils du fondateur de la société Oberthur Technologies, acteur principal de la reprise du Stade français. "J’ai pleuré après tous les messages de soutien reçus. Je pense même ne plus lire mes SMS durant une semaine pour que cela passe". Il a admis également qu’il a été victime en compagnie de Bernard Laporte d’une grosse escroquerie de la part de la fondation canadienne, le Facem. "Nous avons été victimes de fous et d’escrocs. L’escroquerie était vraiment bien montée avec des attestations et des lettres de crédits". Un épisode très fâcheux mais qui n’a pas fait oublié à Max Guazzini ses 19 ans de présidence. "Je ne savais pas comment marcher le rugby à l’époque. Mais je crois avoir réussi des choses. Je pense avoir popularisé et féminisé ce sport. J’ai attiré plus d’1,5 millions de spectateurs au Stade de France. Un pari fou". Sans oublier le succès du calendrier des Dieux du Stade…et le gain de cinq boucliers de Brennus.
"Je ne craquerais pas aujourd’hui. Je me le suis promis". Invité de RTL ce jeudi, l’ancien président du Stade français Max Guazzini est paru très ému. Et laconique. Il n’a pas cherché à noyer le poisson dans l’eau et a de suite annoncé qu’il ne faisait plus partie de l’organigramme du Stade français. Le club qu’il avait ramené de l’oubli en 1992. Max Guazzini a même refusé le titre honorifique de président d’honneur. De surcroît, il a démissionné du Comité directeur de la Ligue nationale de rugby à laquelle il avait été élu en 2008. Une page se tourne bel et bien dans le paysage du rugby français. "C’est une journée très particulière puisque depuis quelques heures, je ne suis plus président du Stade français. Je ne suis plus rien dans la hiérarchie. Je me pose juste comme le supporter numéro un de Paris. J’irai au match en tant que simple spectateur".
"Je ne savais pas comment marcher le rugby à l’époque"
Max Guazzini a reconnu qu’il avait énormément pleuré depuis lundi et la prise de pouvoir de Thomas Savare, directeur général et fils du fondateur de la société Oberthur Technologies, acteur principal de la reprise du Stade français. "J’ai pleuré après tous les messages de soutien reçus. Je pense même ne plus lire mes SMS durant une semaine pour que cela passe". Il a admis également qu’il a été victime en compagnie de Bernard Laporte d’une grosse escroquerie de la part de la fondation canadienne, le Facem. "Nous avons été victimes de fous et d’escrocs. L’escroquerie était vraiment bien montée avec des attestations et des lettres de crédits". Un épisode très fâcheux mais qui n’a pas fait oublié à Max Guazzini ses 19 ans de présidence. "Je ne savais pas comment marcher le rugby à l’époque. Mais je crois avoir réussi des choses. Je pense avoir popularisé et féminisé ce sport. J’ai attiré plus d’1,5 millions de spectateurs au Stade de France. Un pari fou". Sans oublier le succès du calendrier des Dieux du Stade…et le gain de cinq boucliers de Brennus.
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