Benetton : "Je ne veux pas tout casser !"
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Benetton : "Je ne veux pas tout casser !"
Débarqué en lieu et place d'un Jean Anturville remercié malgré son titre de champion de France de Fédérale 1, Philippe Benetton fait le point sur son arrivée à Béziers, et parle de son projet pour le club, qui retrouve le monde professionnel. En attendant la reprise de l'entraînement, le 25 juillet.
Qu'est-ce qui vous a motivé dans le projet biterrois ?
Philippe BENETTON : À vrai dire, surtout la passion qui anime la nouvelle direction de ce club. Ce sont des gens qui aiment les couleurs biterroises, et qui veulent les voir à nouveau briller. Comme eux, je suis quelqu'un de passionné. Je fonctionne comme ça. D'ailleurs, même si le club n'était pas monté en Pro D2, je serais venu à Béziers.
Quand avez-vous eu les premiers contacts ?
P.B. : C'est la nouvelle direction qui m'a contacté, début juin, après un mois de mai agité à l'ASBH (Cédric Bistué a pris la direction de l'ASBH le 24 mai, NDLR). Et les choses sont allées très vite. En deux coups de téléphone et une rencontre, Cédric Bistué et Franck Chaptal m'avaient présenté tout le projet du club, et la structure qu'ils souhaitaient mettre en place. J'ai signé dans la foulée.
Vous vous êtes engagé comme manager général. Quel sera exactement votre rôle ?
P.B. : J'aurais deux activités. Celle de terrain, tout d'abord, auprès de l'équipe première. Je serais entouré de Philippe Gallard, pour la mêlée, et d'Andrew Mehrtens, qui passe actuellement ses diplômes et prendra en charge les trois-quarts et le jeu au pied. Il s'y connaît un peu dans ce secteur (rires) ! Andrew devrait également conserver une licence de joueur, au cas où. Je vais également prendre le temps de rencontrer tous les éducateurs, pour uniformiser et faire en sorte que tout le monde tire dans le même sens. Mais attention, je n'arrive pas pour tout casser ! Le club a besoin de continuité. Je serais surtout là pour cibler quelques améliorations à apporter.
Sur le recrutement, quel est votre rôle ?
P.B. : La direction précédente avait déjà pris des engagements auprès de certains joueurs, que le président Cédric Bistué s'est efforcé de respecter à son arrivée à la tête du club. Ensuite, je ne veux là non plus pas tout changer. Il y a des retouches apportées, mais nous souhaitons conserver de la stabilité.
Des signatures sont encore à attendre ?
P.B. : Nous sommes encore à la recherche d'un arrière, d'un numéro dix et d'un pilier.
Pour l'an prochain, quelle recette appliquer pour assurer le maintien ?
P.B. : La différence avec la Fédérale 1 se fait surtout au niveau de la vitesse. Le jeu, en Fédérale 1, comprend déjà beaucoup de combat et d'engagement. Il est par contre moins élaboré au niveau du jeu collectif. C'est là-dessus que l'on essaiera de travailler. Mais nous ferons face à des équipes habituées de ce niveau-là, au contraire de Béziers qui n'y a pas goûté depuis deux saisons. Nous arrivons donc avec beaucoup d'humilité.
Qu'est-ce qui vous a motivé dans le projet biterrois ?
Philippe BENETTON : À vrai dire, surtout la passion qui anime la nouvelle direction de ce club. Ce sont des gens qui aiment les couleurs biterroises, et qui veulent les voir à nouveau briller. Comme eux, je suis quelqu'un de passionné. Je fonctionne comme ça. D'ailleurs, même si le club n'était pas monté en Pro D2, je serais venu à Béziers.
Quand avez-vous eu les premiers contacts ?
P.B. : C'est la nouvelle direction qui m'a contacté, début juin, après un mois de mai agité à l'ASBH (Cédric Bistué a pris la direction de l'ASBH le 24 mai, NDLR). Et les choses sont allées très vite. En deux coups de téléphone et une rencontre, Cédric Bistué et Franck Chaptal m'avaient présenté tout le projet du club, et la structure qu'ils souhaitaient mettre en place. J'ai signé dans la foulée.
Vous vous êtes engagé comme manager général. Quel sera exactement votre rôle ?
P.B. : J'aurais deux activités. Celle de terrain, tout d'abord, auprès de l'équipe première. Je serais entouré de Philippe Gallard, pour la mêlée, et d'Andrew Mehrtens, qui passe actuellement ses diplômes et prendra en charge les trois-quarts et le jeu au pied. Il s'y connaît un peu dans ce secteur (rires) ! Andrew devrait également conserver une licence de joueur, au cas où. Je vais également prendre le temps de rencontrer tous les éducateurs, pour uniformiser et faire en sorte que tout le monde tire dans le même sens. Mais attention, je n'arrive pas pour tout casser ! Le club a besoin de continuité. Je serais surtout là pour cibler quelques améliorations à apporter.
Sur le recrutement, quel est votre rôle ?
P.B. : La direction précédente avait déjà pris des engagements auprès de certains joueurs, que le président Cédric Bistué s'est efforcé de respecter à son arrivée à la tête du club. Ensuite, je ne veux là non plus pas tout changer. Il y a des retouches apportées, mais nous souhaitons conserver de la stabilité.
Des signatures sont encore à attendre ?
P.B. : Nous sommes encore à la recherche d'un arrière, d'un numéro dix et d'un pilier.
Pour l'an prochain, quelle recette appliquer pour assurer le maintien ?
P.B. : La différence avec la Fédérale 1 se fait surtout au niveau de la vitesse. Le jeu, en Fédérale 1, comprend déjà beaucoup de combat et d'engagement. Il est par contre moins élaboré au niveau du jeu collectif. C'est là-dessus que l'on essaiera de travailler. Mais nous ferons face à des équipes habituées de ce niveau-là, au contraire de Béziers qui n'y a pas goûté depuis deux saisons. Nous arrivons donc avec beaucoup d'humilité.
Patrick- Titulaire
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